Gaïa ou la Terre en partage

Samedi 4 avril – Plusieurs penseurs envisagent la crise comme une occasion de rappeler que l’homme est la première nuisance sur Terre et que l’extinction de l’espèce humaine serait une bonne chose pour la planète. Effectivement le passé nous montre qu’avec seulement 1 milliard d’individus la planète est beaucoup plus vivable. La planète supporte aisément 1 milliard de sauvages.

Je préfère la conception selon laquelle nous faisons partie de la Terre, de la Nature, de Gaïa. La Terre n’a de sens que si chacun y a sa place.

Ceci implique que la vie à 7, 8, 9 milliards d’humains exigent non seulement un effort de productivité agronomique pour nourrir tout le monde, mais également des mutations sanitaires, civiques, écologiques et autant que faire se peut pacifiques. Les asiatiques y sont probablement mieux préparés que les gaulois. Puisse le confinement nous enseigner quelques remèdes aux maux de notre société.

Ça va mieux pour Sylvie qui reste hospitalisée dans une situation toujours préoccupante.

Retrouvez la série de nos chroniques de confinés.