Le confinement est une épreuve singulière. Il a surgi dans nos vies le 16 mars, après l’annonce du Président de la République. Pour nous, ça se passera à Menou…
Nous n’y étions pas préparés, comme les 3,3 milliards de personnes, désormais frappées à travers la planète. Les confinements se ressemblent, mais ne sont assurément pas les mêmes pour tous. Exposition au risque de contamination, travail, chômage, isolement…Chaque expérience est unique.
Mais notre enracinement, ici et maintenant, est à l’évidence un atout. Que pouvons-nous en faire ? Comment rendre cette épreuve plus supportable, pour tous ? Comment la vivre les yeux ouverts ?
Nous vous proposons de suivre et d’enrichir cette période au travers de nos chroniques, publiées avec un léger décalage.
Nous prendrons le temps d’écrire et de décrire notre expérience, jour après jour, depuis Menou, éclairée parfois de points de vue venus d’ailleurs. Nous avons choisi de nous donner le temps de la réflexion.
Nous vous proposons de réagir et de commenter ces chroniques. Nous vous invitons surtout, si vous le souhaitez, à rédiger vous-mêmes des articles sur l’actualité, votre actualité, notre actualité à tous. Nous publierons autant que possible tout ce qui nous sera transmis.
Avec cette reprise de l’activité sur le site de Menou pour tous, nous allons le faire évoluer vers une forme de portail dont la vocation sera d’échanger des points de vue, de faciliter l’accès aux ressources de l’internet et de partager des informations et des expériences.
N’hésitez-pas à l’utiliser. Bonne lecture et bon usage de Menou-pour-tous qui ne s’usera que si vous ne vous en servez pas.
Etienne et François
Note de la rédaction : Cet article est antidaté, il date du 5 avril début effectif de nos publications des chroniques. Tous les articles sont affichés comme ayant été publiés à la date à laquelle ils se réfèrent, les premiers articles avaient de deux à trois semaines de recul puis nous avons combler l’écart à partir du 13 avril. Pour des questions pratiques nous préférons dorénavant nous caler sur le calendrier.
Retrouvez la série de nos chroniques de confinés
bonjour,le confinement ne me pèse pas trop,je dois même dire,que j’ai du mal à sortir pour les courses,et le travail,je deviens peut-être agoraphobe,nous avons la chance de vivre en campagne,où l’air est bon,où chacun possède une cour,un jardin,du bonheur,je pense à tous ces pauvres gens en ville,enfermés dans les appartements,eh oui là je me dit que le confinement doit être dur,en ce qui me concerne,je courbe le dos,je fouine des oreilles,j’attends que l’averse passe ,je ne suis pas la plus mal lotie,des gens travaillent en hôpitaux,croise ce virus plus que moi,des personnes sont seules chez elles…le plus dur pour moi: ne pas voir ni embrasser mes enfants et petits-enfants,mais le jour viendra ou nous serons tous réunis