Jeudi 16 avril – Une matinée passée à rechercher un bug dans le site menou-pour-tous.com. Le monde du numérique est une immense source de frustrations et de fausses espérances. Mais quand ça marchera, ce sera génial. En attendant le succès, la tâche est rude.
Je m’efforce de réaliser deux types de tâches : mettre à disposition les contenus, c’est-à-dire faire que le site présente au mieux les informations qu’il dispense, et produire quelques contenus, à savoir rédiger des articles comme celui-ci.
Ces deux tâches ont leurs plaisirs et leurs doses de déconvenues. Du côté technique, on ne sait jamais quand on aura la solution au problème que l’on rencontre mais quand ça marche, on sait pourquoi (le plus souvent). Produire du contenu est un tout autre exercice et j’apprécie particulièrement de le faire en collaboration avec François qui est du métier. Là on sait quand c’est fini mais on ne sait pas si on a trouvé la solution.
Nous avons reçu tout dernièrement des compliments de lecteurs, ça nous a fait du bien. Alors bonne lecture et n’hésitez pas à commenter. Nous n’en sommes qu’au début… non pas du confinement, mais de l’aventure Menou pour tous.
PS : un extrait de La Transition, chronique d’Hervé Gardette sur France Culture, le 1er avril. : « Le métier de chroniqueur est un métier ingrat au temps du coronavirus : vous disparaissez, noyé sous les contributions de la concurrence, chacun et chacune y allant de sa petite analyse. Une véritable corne d’abondance. Je comprends mieux désormais ce qu’ont pu ressentir un Didier Deschamps ou un Raymond Domenech, confrontés à un peuple qui compte 60 millions de sélectionneurs. »